Atelier d’écriture avec la poétesse Samira Négrouche

Atelier d’écriture d’automne Samira Négrouche, ce nom ne vous est peut-être pas connu et pourtant … Poétesse, écrivaine, essayiste et traductrice, autant de vocables qualifiant cette auteure majeure de la littérature contemporaine, née à Alger en 1980. Invitée en résidence à Voiron à l’initiative de l’association Agora Peuple et Culture, cette dernière est venue à la rencontre de nos élèves,

Atelier d’écriture d’automne

Samira Négrouche, ce nom ne vous est peut-être pas connu et pourtant … Poétesse, écrivaine, essayiste et traductrice, autant de vocables qualifiant cette auteure majeure de la littérature contemporaine, née à Alger en 1980. Invitée en résidence à Voiron à l’initiative de l’association Agora Peuple et Culture, cette dernière est venue à la rencontre de nos élèves, les invitant à jouer avec les mots.
La présence forte de Samira n’a pas déstabilisé les jeunes gens en présence ; ces derniers ont osé s’affranchir de l’acte d’écriture, s’en approprier les codes, car la poésie fait partie du quotidien de nombre d’entre eux, même s’ils ne l’avouent pas toujours.

Les élèves ont toutefois regretté de n’avoir pas plus de temps à consacrer à cet atelier qui avait lieu en veillée.

Extrait texte anonyme :
« La fleur est la renaissance, La renaissance est la nature, La nature est la vie, La vie est l’histoire, Le récit est fleuri »

Lettre à Samira
Merci d’être venue pour nous faire partager votre expérience et découvrir « une autre sorte de poésie »
Merci de nous avoir offert vos poèmes et d’avoir fait naître en nous l’envie d’écrire.
Merci pour votre présence chaleureuse.
De la part de toutes les personnes présentes aux veillées que vous avez animées.
Margau, Juliette, Fanny, Maurane, Margot, Manon, Elise, Océane et bien d’ autres non cités ici …

Autre poème écrit par Anyssia LE PRIOL

Ce soir là, j’ai pris mes clics et mes clacs
Pour aller au bord d’un fameux lac
Je sortis pour regarder ma maison
Avant de m’en aller droit vers l’horizon

Désorientée face au temps de l’imprévu
Je mes suis endormie dans l’inconnu
Réveillée dans la forêt
Par la course des cerfs affolés

Assise j’écoute leurs cris
Qui pendant un moment m’ont assoupie
Mais angoissée par leur détresse
Je compris que le temps presse

Juste le temps de renouer mes lacets
Pour continuer mon trajet
Quand soudain victoire
Devant moi le lac que je rêvais de voir

Laissez Votre commentaire sur cet article